Histoire
En 1929 fut créée l’Association des Jockeys à Maisons-Laffitte.
L’origine de cette association était de reconnaitre un statut à ces sportifs professionnels, soumis à des facteurs de risques importants, l’activité hippique étant source d’accidents parfois dramatiques.
En 1932, la fondation hippique vit le jour, fondation d’utilité publique destinée à récolter des fonds pour les jockeys accidentés.
Grâce à ces propriétaires, entraîneurs et éleveurs du monde hippique, un hôpital à Maisons-Laffitte ouvert à toute la population, ainsi qu’une maison de retraite pour les anciens jockeys et professionnels du monde hippique purent fonctionner.
Durant ces dernières années, de nouvelles demandes émanant du monde sportif et notamment des jockeys et cavaliers apparurent.
Santé et bien être se rejoignent, en effet, dans un but associant prévention et soins.
En 2025 : C’est la création de l’IMES, association à but non lucratif, bras fonctionnel de la Fondation, qui porte et continue l’histoire de la Fondation en partenariat avec la MGEN :
Mission
L’amélioration de la santé globale des sportifs, et notamment des jockeys et des cavaliers, en plaçant le sportif au centre d’un système associant prévention et soins, innovation et recherche.
- Santé physique : rééducation, kinésithérapie, ostéopathie, nutrition, réathlétisation, évaluation et entraînement physique…
- Santé mentale : rythme veille-sommeil, évaluation de la charge mentale, techniques comportementales, gestion des émotions…
- Santé sociale : éducation, formation, reconversion, accompagnement à la retraite, à différents âges de la vie sportive…
Moyens :
- Des appareils modernes et innovants, validés par des organismes sportifs tels que l’INSEP ou les départements médicaux de la FFR et la FFF.
- Un plateau technique (balnéothérapie, isocinétisme, etc.).
- Une équipe pluridisciplinaire associant médecins du sport, kinésithérapeutes, ostéopathes, nutritionnistes, psychologues du sport et scientifiques de l’activité physique.
Le passé sert, le présent réalise, l’avenir poursuit…